Auteur Faucher Ph.

Unité fonctionnelle d’Orthogénie, Hôpital Trousseau, PARIS.

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Contrairement à la plupart des pays européens, l’interruption volontaire de grossesse (IVG) instrumentale en France est plus souvent pratiquée sous anesthésie générale dans un établissement de soins. Pourtant, cet acte chirurgical peut parfaitement être pratiqué en toute sécurité après application ou infiltration d’anesthésiques locaux, couplés ou non à l’administration de protoxyde d’azote ou de produits sédatifs sans altération de la conscience.
C’est principalement l’organisation du système de soins en France et la formation des praticiens impliqués dans l’IVG instrumentale qui limitent le développement de l’IVG sous anesthésie locale. La récente possibilité de pratiquer des IVG sous anesthésie locale dans les centres de santé peut certainement contribuer à la diffusion plus large de cette technique en France.

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Il n’y a pas d’arguments scientifiques pour refuser la pose d’un DIU/SIU chez une femme nullipare. Un dépistage des IST doit être fait chez la nullipare présentant des facteurs de risque.
Les recherches doivent se poursuivre pour faciliter la pose chez les nullipares. La forme et la taille des DIU/‌SIU, les mieux adaptées aux utérus de petite taille, restent à déterminer.