Auteur Benjoar M.

Centre d’imagerie Manin Crimée, PARIS.

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L’IRM pelvienne est indiquée dans les bilans d’extension des cancers du col utérin et dans les cancers de l’endomètre. Cette méthode d’imagerie non invasive permet de réaliser un bilan d’extension locorégionale optimal et de guider une prise en charge thérapeutique adéquate.
L’IRM n’a pas de réel rôle dans le diagnostic initial, elle est réalisée après un diagnostic anatomopathologique. Elle permet néanmoins une caractérisation tissulaire assez performante grâce à un contraste tissulaire élevé et grâce à l’imagerie fonctionnelle.
Les comptes rendus d’IRM doivent être standardisés avec, en conclusion, une proposition de classification FIGO pour permettre une communication optimale lors des réunions de concertation multidisciplinaires. L’IRM permet aussi d’évoquer en préopératoire les lésions myométriales atypiques comme les sarcomes utérins.

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Les femmes à haut et très haut risque de cancer du sein doivent bénéficier d’une surveillance radiologique spécifique. La surveillance des femmes à très haut risque repose sur l’IRM mammaire associée à une mammographie par une seule incidence. La période de surveillance spécifique va de 30 à 65 ans. Les femmes à haut risque auront une surveillance annuelle par mammographie avec deux incidences.
Le test d’Eisinger permet facilement d’apprécier le risque génétique et d’adresser les patientes en consultation d’oncogénétique. L’étude européenne MyPeBS incluant 85 000 femmes va tenter de démontrer l’intérêt d’un dépistage personnalisé.