- Le SOPK, une pathologie évolutive tout au long de la vie de la femme
- Problématiques soulevées par le diagnostic de SOPK chez l’adolescente
- 1. Troubles du cycle
- 2. Hyperandrogénie
- 3. Aspect échographique des ovaires
- 4. Place du dosage de l’hormone anti-müllerienne (AMH)
- 5. Enjeux psychologiques du diagnostic
- Recommandations disponibles sur la prise en charge du SOPK de l’adolescente
- 1. Troubles du cycle
- 2. Hyperandrogénie
- 3. Aspect multifolliculaire des ovaires
- Prise en charge du SOPK chez l’adolescente
- 1. Hyperandrogénie
- 2. Troubles du cycle
- 3. Syndrome métabolique et hyperinsulinisme
- 4. Impact sur la fertilité
- 5. Retentissement psychologique
- Conclusion
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est la pathologie endocrinienne la plus fréquente chez la femme, avec une prévalence estimée entre 6 et 21 % en population générale [1]. Son diagnostic repose sur l’association d’au moins deux éléments parmi : un trouble du cycle, une hyperandrogénie clinique et/ou biologique et un aspect compatible des ovaires à l’échographie. Ce diagnostic sera confirmé après éviction des diagnostics différentiels, c’est-à-dire une dysthyroïdie, une hyperprolactinémie, une hyperplasie congénitale des surrénales, un syndrome de Cushing ou une tumeur androgèno-secrétante [2].
L’adolescence est une période de transition physique et psychique durant laquelle l’axe gonadotrope devient progressivement fonctionnel et les caractères sexuels secondaires se mettent en place. La prise en charge d’un SOPK à l’adolescence[...]
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