- La clinique restera indispensable
- Dépistage cytologique primaire
- 1. Les difficultés du dépistage
- 2. Triage des ASC-US et LIEBG par les biomarqueurs P16 et Ki-67
- Utilisation du test HPV en dépistage primaire
- 1. HPV : facteur de risque indispensable à la carcinogenèse cervicale
- 2. Risque de CIN2+ en fonction du portage viral et du génotype
- 3. Test HPV en dépistage primaire
- Intérêt du test HPV dans quelques cas particuliers
- 1. Dépistage après 65 ans ?
- 2. Surveillance post-thérapeutique des CIN2+
- 3. Peut-on améliorer la prise en charge des FCU AGC ?
- Perspectives
Actuellement, le dépistage recommandé par la Haute Autorité de santé (HAS) repose sur un frottis cervical tous les 3 ans, de 25 à 65 ans, après deux frottis consécutifs normaux à 1 an d’intervalle. Bien que le cancer du col ait reculé à la septième place des cancers en France, 3 500 cas annuels échappent à un dépistage cytologique optimal.
De nouvelles stratégies sont souhaitables pour mieux sélectionner les patientes à haut risque, les adresser de suite en colposcopie et donc diagnostiquer plus tôt les lésions précancéreuses que sont les CIN2+. Pour cela il faut référer en colposcopie de façon pertinente des patientes qui, par le dépistage actuel, ne l’auraient pas été, et référer en colposcopie plus tôt certaines atypies mineures du frottis.
Le cancer du col utérin, cancer viro-induit, est dû à la persistance de -l’infection à HPV ; il semble donc logique d’inclure la notion de présence virale et de persistance virale dans les algorithmes du dépistage
La clinique restera indispensable
Quel que soit l’algorithme choisi pour le dépistage, la clinique garde toute son importance pour référer en colposcopie des patientes[...]
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